Airam Hernández – Der Fliegende Holländer

In his first Wagnerian role, Airam is a unanimously praised Erik
• OPERA GAZET – Jean Jordy
« Chasseur énergique et engagé, Airam Hernandez, fidèle du Capitole, donne à Eric un relief nouveau par son engagement vocal et dramatique, l’acier d’une voix chaude, le sens des nuances. »
• CLASSIQUENEWS – Emmanuel Andrieu
« Le ténor espagnol Airam Hernández (Erik), grand habitué des lieux, incarne un fiancé désespéré au timbre cuivré et à la justesse expressive, apportant une humanité touchante au drame. »
• DIAPASON – Jean-Philippe Grosperrin
« Celui-ci, personnage conventionnel si l’on veut, mais pivot dramatique (judicieusement avantagé par Michel Fau) et trésor lyrique, est incarné de manière enthousiasmante par Airam Hernandez. Irrésistible en Pollione dans la Norma capitoline de 2019, son ténor domine un rôle dont il a tout : la flamme, la langue, la douleur, le raffinement dynamique, mais aussi la « voix étouffée » demandée par Wagner quand il narre son cauchemar. Bravo ! «
• BACHTRACK – Emnanuel Gaillard
« Dans le rôle d’Erik, le fiancé désespéré de Senta, la musicalité et le timbre d’Airam Hernández sont absolument formidables. »
• CLASSIC TOULOUSE- Robert Pénavayre
« Il en est ainsi du ténor Airam Hernandez, dont le Midi du Capitole le 23 mai est à sanctuariser dans votre calendrier. Il chante ce soir Erik, ce personnage intensément tragique, chasseur perdu au milieu de marins et qui va voir sa bien–aimée enlevée par un fantôme. Le rôle est écrit de manière très abrupte, presque désordonnée, avec des aigus spinto redoutables en début de phrases. C’est effrayant ! Le natif de Tenerife fait face avec un organe d’une beauté de timbre renversante, l’émission est parfaitement ronde, les registres sont soudés, l’ambitus est large et la projection dévastatrice. Il revient la saison prochaine dans la création in loco de La Passagère et une reprise de Carmen. A vos agendas !! »
• LE MONDE – Marie-Aude Roux
« Erik, dont le ténor Airam Hernandez campe une très séduisante incarnation. Voix souple et timbre cuivré, doublés d’une belle prestance scénique (même en chasseur tueur d’oie sauvage), le ténor espagnol donne à l’amoureux terrestre d’Elsa une aura capable de rivaliser avec celle du capitaine maudit. »
• CULTURE 31 – Michel Grialou
« Erick, soit Airam Hernandez, que dire en résumé, si ce n’est qu’on a l’impression d’entendre un Lohengrin, donc une voix maîtrisant parfaitement le rôle, ce qui ne l’empêche pas de donner aussi des vocalises parfaitement assurées !. »
• OLYRIX – José Pons
« Le ténor Airam Hernández campe un Erik fier et attachant. La voix au timbre cuivré s’avère parfaitement projetée, pleine de justesse expressive et attentive. »
• CULTURE DECONFITURE – Julien
« Le quatuor principal s’est imposé avec puissance et émotion…Erik (Airam Hernández) apporte quant à lui une humanité douloureuse dans son désespoir amoureux. »
• LES ECHOS – Phillippe Venturini
« Elle contraste singulièrement avec le tendre Erik, son fiancé désemparé, à qui Airam Hernandez prête une voix de ténor à la grâce mozartienne. »
• OPERA MAG – Pierre Cadars
« Airam Hernández fait bénéficier Erik d’un lyrisme chaleureux qui donne aussitôt à son personnage une force d’émotion qui ne dément pas d’un acte à l’autre »