Michèle Bréant in Orlando : reviews

Dorinda in Haendel’s Orlando at Opéra National de Lorraine 3, 5, 7 and 9 October 2025

La bergère Dorinda, souvent source de légèreté, est devenue sous l’interprétation de Michèle Bréant le cœur battant et fragile de l’histoire. Son soprano, d’une clarté et d’une fraîcheur juvéniles, a illuminé la scène. Son timbre, d’une pureté qui n’exclut pas le mordant, était parfaitement adapté pour exprimer la naïveté touchante et les chagrins d’amour du personnage. Dans l’air « Amor è qual vento », elle a magistralement passé de la colère piquante à la douleur sincère, avec des vocalises espiègles et une justesse d’intonation impeccable. Elle a rappelé, par son engagement scénique et vocal, que les rôles dits « secondaires » chez Haendel sont souvent les plus humains, et donc les plus attachants. ClassiqueNews

La Dorinda de Michèle Bréant séduit par la limpidité de ses aigus et l’espièglerie de son interprétation. Resmusica

La mutine Dorinda (épatante Michèle Bréant) – L’Est Republicain

Michèle Bréant affirme une musicalité aussi aboutie en Dorinda aux atours de soubrette, avec un babil irrésistiblement fruité. ClassicAgenda

Elle trouve cependant une rivale de choix en la personne de la soprano Michèle Bréant, épatante Dorinda au timbre clair, délicieusement frais et fruité, dotée de mille charmes. ForumOpera

Dans le rôle de la bergère Dorinda, Michèle Bréant réussit elle-aussi à tirer son épingle du jeu et bénéficie de jolies trouvailles de mise en scène qui font de son personnage un des plus attachants du spectacle. Dès sa première ariette « Ho un certo rossore », on est séduit par un timbre clair, des aigus haut-perchés et une simplicité d’effets qui dessinent le portrait d’une chanteuse sincère et engagée. Premiere Loge Opera

Les deux sopranos réunies sur le plateau offrent un duo de choc. En Dorinda, Michèle Bréant brille par la joliesse de ses suraigus et le naturel de son chant. Elle se tire avec brio des intervalles dans « Amor è qual vento« , air auquel elle apporte tout l’humour qui convient. Olyrix